Jillian Phillips
CHIMÈRES ; nyx MESSAGES : 23 Date d'inscription : 02/11/2019 PSEUDO : bermudes. AVATAR : anya taylor-joy. COPYRIGHT : kane. GANG : chimères ; muse
| Sujet: don't worry for me, truth is I'm okay (cecil) Mer 29 Jan - 18:09 | | | Elle connaît un peu la famille d’Alexeï. Ils sont tous plus âgés qu’elle, et en traînant pas mal avec l’un d’eux à une époque, elle a eu l’occasion de tous les rencontrer. Y’en a certains avec qui elle s’entend pas, d’autres qu’elle ignore, mais y’en a un en particulier avec qui elle s’entend plutôt bien. Cecil. Elle trouve son histoire touchante, et il est coiffeur. En temps que Muse, Jillian se doit d’être toujours parfaitement canon, toujours à avoir une belle tête, appréciable. Elle est censée charmer les hommes et les femmes avec ses atouts. Et Jillian est bien consciente que les gens aiment ses cheveux. Pas seulement Alexeï, qui semble avoir un kink avec le fait de passer sa main dans ses cheveux tout le temps, mais tout le monde. C’est pour ça que de connaître Cecil, c’est une bonne chose. Puis, il ressemble à un enfant. Il est bien plus âgé qu’elle, mais il a une sensibilité qui lui donne l’air d’un enfant de dix ans. Jillian aime bien être avec lui parce qu’elle se sait en sécurité. Son père lui dirait probablement d’être méfiante. Que si elle arrive à faire croire à tout le monde que c’est une bonne samaritaine, alors d’autres peuvent le faire aussi. Mais Jillian est persuadée qu’elle serait capable de repérer ses congénères, de repérer ceux qui se jouent des sentiments des autres. Cecil n’en fait pas partie. Cecil est sensible, doux, et surtout naturel. Cecil est comme un diamant brut ou au contraire, un diamant qui a été trop poli et grandement fragilisé. Mais Jillian se sent en sécurité avec lui. Alors elle passe pas sa vie à ses côtés, parce qu’elle a autre choses à faire, et qu’elle a pas vraiment besoin de quelqu’un qui la fait se sentir en sécurité tout le temps à côté d’elle. Mais parfois, ça fait du bien. Parfois, quelques heures dans le mois, qu’elle se dise que c’est des heures où elle n’a pas à faire attention, à sans cesse regarder derrière son épaule dans la crainte de quelqu’un qui voudrait la poignarder par derrière. Elle sort de chez les Muses et se dirige doucement vers la terre du milieu. Elle sourit aux gens, salut d’autres, fait des coucous dynamiques à certaines de ses “amies”. Et finalement elle arrive vers l’endroit où habite Cecil. C’est l’endroit où habite Alexeï aussi. Et ça l’emmerde, Jillian, de devoir aller là. Elle frappe à la porte, et c’est un garçon qui lui ouvre. Un de ceux qu’elle ignore parce que peu, voire pas intéressant. Zoe son nom, si elle se souvient bien. Elle lui mime une paire de ciseaux coupant ses cheveux et il lui dit qu’il est vers le marché. Jillian le remercie en levant un pouce vers lui, tout sourire, et se retourne vers le marché. Elle passe à côté des stands, mais il n’est nul part. Elle fronce légèrement les sourcils. Elle commence à être agacé mais ne laisse rien paraître. Elle peut pas prendre le risque que quelqu’un la voit faire autre chose que sourire. Elle finit par trouver un client à qui elle demande, comme elle l’avait fait avec Zoe, où trouver un coiffeur. Cecil est pas le seul de l’île, mais même si elle trouve un de ses collègues, elle pourra toujours leur demander à eux où est Cecil. Probablement qu’ils le savent. Elle suit les indications de son client, pas avant d’avoir fixé un prochain rendez-vous avec lui, et finit enfin par se retrouver face à Cecil. Elle s’approche de lui et lui sourit lorsqu’elle arrive à sa hauteur. Elle lui montre ses cheveux, et avec des gestes qu’elle sait clairs lui demandent s’il peut s’occuper d’elle maintenant. Si il a pas un autre rendez-vous ou quelque chose d’autre. Elle aime bien Cecil. Elle se sentira moins en sécurité avec lui ici alors qu’ils sont sur la terre du milieu aux yeux et à la portée de tous, mais finalement c’est peut-être pas plus mal. Elle préfère largement ça que d’être chez lui et de risquer de croiser Alexeï alors qu’elle est en train de se faire couper les pointes. Elle est pas certaine de quelle situation est la plus dangereuse. |
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