île prison pour les jeunes délinquants du monde entier
 
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 :: LA VIE D'UN PIRATE :: capitaine crochet :: supprimées
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oh yeah, don't fucking call me bernadette
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MessageSujet: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptyJeu 25 Juil - 13:32

Bernadette Lowell

yolandi visser + kawaiine
magiciens

tu détestes ton prénom, tout le monde t'appelle bernie, et ceux qui osent prononcer bernadette s'en prenne une + t'es à la fois le genre je-m'en-foutisme et le genre susceptible, un drôle de mélange + t'es explosive et vulgaire, c'est un fait, pas une phrase sans dire putain, tu sais pas faire ça + t'es débrouillarde, aussi, putain de débrouillarde et indépendante, c'est certain + tu t'amuses de tout, mais surtout beaucoup des autres, t'es ultra moqueuse, ultra manipulatrice aussi, t'es un démon dans un corps filiforme + tu ris beaucoup + tu fumes beaucoup, aussi, mais tu touches rarement aux drogues que tu vends, ironiquement, même si ça t'arrive de temps en temps, tu préfères les plantes des sages, toi + t'aimes bien aussi les boissons des alchimistes, t'es reconnaissante à ce gang d'exister juste pour pouvoir te mettre des races régulièrement + tu sais pas trop si t'es nymphomane ou si t'aimes juste le cul, mais il se passe rarement un jour sans que tu t'envoies en l'air avec quelqu'un + t'es plutôt loyale, mais il faut mériter ton amitié, et c'est pas tellement gagné + t'es aussi amicale que difficile à approcher + tu frappes et tu parles ensuite, c'est un réflexe, faut pas oublier que t'es une magicienne avant tout + tu considères les gens comme des distractions, des jouets, des trucs pour passer le temps, sauf ceux que tu aimes, mais par défaut les nouvelles têtes sont juste des potentielles source d'amusement + t'es pas très difficile à cerner quand on a compris que, pour toi, la vie n'est qu'un jeu et qu'il faut s'amuser sans penser ni aux lendemains, ni aux conséquences.

 
 
âge ; t'as vingt-huit piges, connasse, et t'as rien fait de ta vie mis à part croupir sur cette île, mais tu t'en fous, hein ?
lieu et date de naissance ; T'es née le 12 décembre 1991 à Grand Prairie, au Texas.
origines ; Tu te tapes un prénom merdique, le genre qui t'a toujours fait grimacer, qu't'as jamais assumé et qui trahit pas là d'où tu viens, mais t'es américaine, toi. Complètement.
pays de provenance ; Les États-Unis, plus précisément cette foutue Californie qu'a réussi à niquer tes rêves et ton avenir. Parce que t'en avais un d'avenir. Pas très légal, mais t'avais tout entre les mains.
langue parlée ; Tu parles qu'américain. Tu refuses même de dire que tu parles anglais. Tu parles américain, avec ton putain d'accent texan.
statut social ; T'es une éternelle célibataire, toi. L'éphémère des relations, c'est ce qui te fait vibrer, et tu serai incapable de t'engager dans une seule histoire, ça te ferait trop chier. T'aimes quand c'est passionné, passionnel, les débuts, voir les rien du tout. Juste une nuit partagée, avec le plus de personnes possible.
classe sociale ; ici.
temps d'exil ; T'es là depuis sept ans, cueillie à tes 21 ans comme une conne. C'est con, à quelques mois près, t'étais reconnue majeure, et t'aurais jamais foutu les pieds sur cette île. Avec le recul ? T'es contente d'avoir été cueillie mineure, justement parce qu'il y avait cette île.
crime présumé ; Fabrication et distribution de drogues, plus particulièrement de cocaïne. Malheureusement pour ta gueule, les flics ont vite découvert que t'étais l'une des têtes d'un trafic important sévissant en Californie, et t'as pris pour un crime majeur. Trafiquante de drogues, t'as juste ris quand ils t'ont étalé ton passé à la gueule pour t'faire peur, en espérant avoir des noms.
innocence ; Complètement coupable, et t'as même pas nié. T'as juste pas balancé tes associés et encore aujourd'hui, leurs noms restent un foutu mystère.
volontaire ; nop, t'as pas eu le choix, toi. Et t'es sûre que ça a bien arrangé les autorités, t'étais la candidate parfaite pour c'te petite expérience, après tout.
casier ; Bien fourni, on t'a foutu dans un centre de détention pour mineurs, pour trafic de drogues, une petite peine pour avoir dealer, de tes 14 à tes 19 ans. Tu t'es fait pincer aussi pour détention de drogues, et pour quelques vols de faibles importances.
l'île, c'est comment ?
L'île, c'est ta putain d'maison. T'as pas envie d'en partir, de perdre les gens qui comptent pour toi. Tu passes ton temps à faire des plans pour pas qu'on puisse t'faire bouger de cet endroit. C'est devenu ton monde, Bernie, c'est devenu ton repère. Et bordel, tu l'aimes ta vie ici. Tu peux laisser s'exprimer tes talents culinaires - et on parle pas d'cuisine conventionnelle - faire ce pour quoi t'es le plus douée sans qu'on te casse les couilles, au contraire. T'es connue, ton nom est sur les lèvres des plus gros accro à la cocaïne de c'te foutue île, t'as une petite renommée. Tu te considères comme la meilleure Serdaigle de ces putains de Magiciens que tu quitterais même pas si on te payait pour le faire. Bref, t'es à ta place, ici.

pourquoi avoir rejoint ou non un gang ?
C'est plus fun avec une famille, nan ? Honnêtement, c'était une putain d'évidence, créer les Magiciens avec les autres, vu ton passé. Une putain de nécessité. Et toi, venant d'un milieu de trafiquants, tu sais qu'il faut être entourée. Tu sais qu'il faut des piliers, des associés, des gens à qui faire confiance pour survivre. L'île, c'était encore une putain de jungle à ton arrivée, c'était certain que t'allait pas rester toute seule. C'était certain que t'allait t'accrocher à des gens comme un parasite pour ta propre survie. Et puis, tu t'es installée, t'as pris tes habitudes, t'as donné à ton gang tout ton savoir-faire. Ouais, c'était une putain d'évidence. Tu te verrais nulle part ailleurs qu'à traîner dans le quartier des Magiciens. Tu te verrais rien faire d'autre que fabriquer et vendre ta merde. T'appartiens à ce monde là, Bernie. C'est presque ton identité.

ton rêve, c’était quoi ?
Tu voulais gravir les échelons dans ce putain de paradis illégal. Tu voulais que ton trafic devienne le plus important de Californie, et que ton nom marque l'empire de la drogue de façon significative.
ryn
ooohh vous commencez à me connaître oh yeah, don't fucking call me bernadette 2396628931



Code:
Yolandi Visser ⌯ <a href="http://lesenfantsperdus.forumactif.com/u92">Bernadette Martin</a> (01/08)
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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptyJeu 25 Juil - 13:32

Histoire

It's show time, motherfucker, it's on
Apocalypse now, I'm dropping this bomb


Il y a toi. Il y a ton père.
Il y avait ta mère.

Il y a un appartement mal entretenu à Grand Prairie, et les seringues sur une table basse. Il y avait l'enfant qui pleurait dans un berceau inconfortable, et une femme à peine sortie de l'adolescence pour venir le bercer, qu'importe qu'elle soit défoncée. T'as jamais été battue. T'as toujours été aimée.

Sarah, ta mère, ta protectrice. Grande femme trop maigre, qui t'a donné la vie du haut de ses dix-neuf ans. Tony, ton père, ton paradis. Homme tatoué impressionnant qui t'a pris pour la première fois dans ses bras du haut de ses trente-deux ans. Bernadette, toi, petit bébé chétif née prématurément, couvée par deux parents à peine connectés au reste du monde.

T'as été si heureuse, Bernadette, que le bonheur était la définition de ton être. Parce que tu t'en fous d'avoir grandit au milieu des seringues, au milieu de ces moments où tes parents étaient indisponibles, en voyage sur leur propre canapé. T'as développé très tôt ton autonomie, t'avais pas le choix. À trois ans, tu savais déjà où étaient les biscuits si tu avais faim. À cinq ans, tu savais faire fonctionner le micro-ondes pour réchauffer un plateau repas. Et tu t'en fichais un peu, toi, tant qu'il te restait ce moment du coucher où, peu importe leur état, tes parents venaient tous les deux dans ta minuscule chambre. Ton père, pour te prendre dans ses bras, te bercer en te disant chaque soir tu étais la meilleure petite fille du monde. Ta mère, pour vous regarder tendrement, et te relire encore et encore l'histoire de Jack et le Haricot Magique. Et toi, pour t'endormir doucement, entre les bras de ton père et la voix de ta mère.

Tu as eu huit ans, un jour, il y a longtemps. Petite fille heureuse, qui allait à l'école même si ses vêtements puaient, pas très aimée des autres enfants. Trop maigre, peut-être, trop étrange. Les instituteurs soucieux de ton bien-être, avec leurs signalements. On t'a enlevée à ta famille, toi qui était si heureuse, pour cause de négligence disaient-ils, les adultes. Tu ne savais même pas ce que cela voulait dire, toi qui réclamait chaque soir tes parents pour votre rituel. Toi qui ne dormait plus, maintenant qu'il n'y avait plus chez toi ni Sarah, ni Tony. Plus de Jack et le Haricot Magique pour t'emporter vers le sommeil. Des gens âgés en guise de parents de substitution, que tu n'as jamais aimé, pour te faire des repas trop copieux pour ton estomac habitué au peu.

Elle n'a pas supporté, ta mère. Ton absence au quotidien, elle qui t'aimait si fort. Un jour, on t'a annoncé qu'elle n'était plus là. Sarah avait fait une overdose, après avoir pris la dose du désespoir. Elle qui pleurait tous les soirs en tenant le livre que tu aimais tant.

C'est à ta famille d'accueil que t'en as voulu. À l'enterrement, alors qu'ils essayaient de maintenir ta main pour que tu n'ailles pas trop voir les amis de tes parents. Tu leur as craché ta haine au visage, avant de te sauver, retrouver les bras d'un père détruit, la chaleur des oncles et des tantes d'adoption, ces visages familiers, cette famille choisie par tes parents. T'as pleuré. T'avais jamais autant pleuré. Ton père aussi, ses amis aussi. Sarah était aimée, et si la protection de l'enfance n'avait pas été si conne, elle aurait vu que tu étais choyée, pas négligée. Que tu devais te débrouiller seule, c'est vrai. Les agents de la protection de l'enfance, s'ils avaient été moins aveugles, auraient vu qu'ils avaient brisé une famille.

Mais ils n'ont rien vu, les débiles, et ton père a promis ce jour-là qu'il te ramènerait à la maison, quoi qu'il arrive. Lui qui venait à l'heure à chaque rendez-vous, qui respectait les heures de visites, même quand tu hurlais lorsqu'il devait repartir. Exemplaire Tony, qui voulait le retour de sa fille à la maison. Exemplaire Tony, qui alla en cure, qui reprit sa vie en main. Pour toi.

Ton père a trouvé un travail.
Un appartement adapté.
Fébrile pendant l'audience de fin de placement.
Et tu es retournée à la maison à douze ans.

Le plus beau jour de ta vie, en retrouvant une chambre chargée de souvenirs. Jack et le Haricot Magique posé à côté de la photo de vous trois. Sarah, Tony, Bernadette. La promesse de ton père. Celle qui disait que plus personne ne pourrait vous séparer, maintenant. Qu'il avait fait ce qu'il fallait pour ton retour. Le bonheur, à nouveau, celui qui vient remuer les tripes, soulever les montagnes. Il y a toi. Il y a ton père. C'est ainsi que les choses devaient être. Il ne s'est jamais rien passé de bizarre, avec ton père. Jamais. Il était un vrai père, et pendant plusieurs mois, malgré ton entrée dans l'adolescence, il venait chaque soir te lire Jack et le Haricot Magique pour t'aider à t'endormir. Vous aviez des années à rattraper. Des années volées, que vous aviez besoin de retrouver. Tu n'as jamais cessé d'aimer ton père, tu savais bien trop tout ce qu'il avait fait pour te ramener à la maison. Mais toi, tu étais pleine de colère, Bernadette. Pleine de rancœur, de ces quatre ans où l'ont t'avait arrachée à ta famille.

Adolescente turbulente, c'est ainsi que tu étais qualifiée. Adolescente n'acceptant pas l'autorité, hormis celle d'un père qui n'en avait pas. Véritable cauchemar de tes professeurs, des écoles que tu as arpenté, renvoyée régulièrement. Une école privée en dernière chance. Si les adultes s'étaient mêlés de leur cul, tu ne serais certainement pas la femme que tu es aujourd'hui. L'enfant d'un père dépassé que tu as refait plonger. Tony a perdu son travail. Les seringues sont vite revenues sur la table. Mais tu savais ne rien montrer, maintenant, pour qu'on ne t'arrache pas encore à la garde d'un père qui était le centre de ta vie. C'est pour ça que tu as trouvé comment faire de l'argent facilement, pour continuer à payer le loyer, à payer de quoi manger.

Dealeuse, Bernadette, comme si c'était écrit.
À quatorze ans, moins en cours que dans la rue à vendre.
Mauvaises fréquentations, et la petite Bernie qui commence à faire sa loi.

Et c'est arrivé. Tu as été de nouveau arrachée à ton père, et tu as eu peur qu'il ne s'en remette pas. Pas par la protection de l'enfance, mais par un juge, cette fois. Te voilà jugée, crime mineur, toi qui vendait de la drogue à des jeunes souvent plus âgés que toi. Envoyée en centre de détention pour mineurs pendant cinq ans. Une vie marquée par la rupture, marquée par les placements, les déplacements, les replacements. Petite Bernie qui s'est construit au milieu de petits délinquants, et de délinquants un peu plus importants. Ceux desquels tu t'es vite rapprochée, en prison. Ceux qui t'intéressaient vraiment. Tu cachais tout ça à ton père. Le réseau qui a commencé à se créer avec toi, autour de toi. Loin d'être bête, plutôt débrouillarde, petite Bernie s'intéressant à la chimie, à la création. Libérée à dix-neuf ans, mais s'ils avaient su.

Tu n'étais plus Bernadette, tu étais Bernie.
Et ton père n'était plus que l'ombre de Tony.
Homme de 51 ans, détruit par la drogue et ton comportement.
Ombre de Tony dépassée par tes illégales ambitions.

L'ultime tentative d'un père pour te sauver a été un déménagement. Autorisation obtenue pour toi, vous voilà partis pour la Californie. Un père espérant ainsi rompre avec votre vie d'avant, te faire rompre avec tes fréquentations, recommencer à zéro. Il s'est accroché pour toi, parce qu'il voulait te sauver et se sauver. Lui qui a continué à enchaîner les cures, parfois avec succès, parfois avec rechute. Un homme détruit, qui a perdu la femme de sa vie, et sa fille deux fois. Une fille qu'il ne pouvait plus retrouver, parce que Bernadette était définitivement partie. Où était passée la petite fille rayonnante, amusante ? Où était passée cette petite fille qui venait mettre une couverture sur les corps défoncés de ses parents, avant de ranger l'appartement ? Où était passé la petite fille qui essayait de travailler à l'école, et celle qui hurlait qu'elle voulait retrouver ses parents ? Envolée.

Les fréquentations ne sont pas meilleures aux Texas qu'en Californie. Les contacts se gardent. Et tu avais déjà décidé. Un réseau qui s'est créé rapidement. Toi qui fabriquait, et qui vendait. Pour toi, ça a été le pied. Toi qui aimait tellement ton père, l'argent servait à ce qu'il ne manque de rien, sans voir qu'il lui manquait le principal. Mais tu étais trop occupée, toi. Trop occupée par l'empire que tes amis et toi commenciez à construire. Les choses se sont rapidement accélérées. Les contacts, les arrangements, t'as rencontré les plus grands trafiquants de Californie pour pouvoir faire accepter ton petit trafic. Devenue dure en affaire, t'as commencé à te faire une place, un nom. Ton trafic, tes associés, c'était devenu ta vie. Les études n'étaient même pas une option, tu aimais le frisson de ta vie. Ton père, dépassé, fatigué, voyait mais ne disait rien. Ne faisait rien. Il aurait pourtant pu te sauver en y mettant de l'autorité.

Une soirée pour tout faire basculer, voilà ta réalité. Une rave-party, toi sortie de ta tanière.
Tu aimais toujours vendre, le contact avec les clients, distribuer ta merde et récupérer le cash.
Son visage, tu as du mal à l'oublier. Iris vertes, elle voulait chopper sa meilleure amie.
Visiblement, c'est elle qui s'est fait chopper, et toi avec quand on est remontée jusqu'à ton nom.

Descente de flics chez toi, assez de preuves pour t'inculper. Et te voilà cuisinée, surveillée, interrogée. Vingt-et-un ans, et ton empire qui s'effondre presque sous tes yeux. Mais tu n'as lâché aucun nom. Aucun indice. Tu as ris au visage de ceux qui essayaient de te faire parler pour une ridicule petite remise de peine. T'es pas une balance, Bernie. Tes associés étaient à l'abri, tu savais que ton arrestation n'allait inquiéter personne, mis à part un père au bord du gouffre. Ils ne pouvaient rien tirer de toi, mais vu ton casier, ils ont pompé jusqu'à la dernière petite chose à faire de toi. Une île. Une expérience.

Le 5 Avril 2012, ton cul dans un bateau. Bientôt ton cul sur une île pleine de délinquants juvéniles. Encore une fois arrachée à ton père. Tu ne le sauras jamais, mais Tony ne s'est pas relevé de cet ultime séparation. Toi, t'es arrivée dans une foutue jungle sans règles. Une foutue jungle ridicule. Comme pour ton trafic, tout s'est déroulé très vite. Toi, les autres, les médicaments volés, et la création d'un gang en 2013. Les Magiciens. Le premier gang de l'île. Mais tu voulais plus être cheffe, Bernie, tu voulais ta vie tranquille, tant que tu pouvais fabriquer et vendre ta merde, t'as laissé les commandes à Diego et Don. Des bons chefs, tu le savais, t'as jamais remis en question leur putain de place à la tête du gang. Jamais, pas une fois. T'as regardé de travers ceux qui faisaient mine de vouloir le faire, t'as mis quelques coups à ceux qui allaient trop loin. T'as reconnu aussi la nouvelle Dobby, plus tard, elle le méritait.

C'est comme ça qu't'as fait ta vie sur l'île.
Avec ce gang, pour lequel ta loyauté n'a aucune faille.
A vendre ta merde avec bonheur, à répliquer quand il le faut.
Tu t'laisses pas marcher sur les pieds, Bernie, tout le monde le sait.
Tout le monde sait aussi que tu fais une des meilleures came de l'île.

Parce que c'est ce que t'es maintenant. T'es une Serdaigle. Et tu songes même pas à la possibilité qu'on te fasse bouger de cette île. C'est chez toi. Et tu te battras pour y rester, envers et contre tous. Ton père te manque, tous les jours. Bien sûr qu'il te manque. Mais t'as vingt-huit ans, maintenant. T'es plus une gamine. Et tu te dis que, peut-être, ton père est heureux sans toi maintenant. Sans tes conneries.

Si tu savais que t'as loupé son enterrement, à cause de tes conneries...
Mais tu sais pas. Parce que t'es là. Bernie la Magicienne.


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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptyJeu 25 Juil - 13:55
BERNADETTE oh yeah, don't fucking call me bernadette 2485923792

MON DIEU MAIS JE SUIS FOU DE TOI. Tu sais très bien pourquoi oh yeah, don't fucking call me bernadette 119692517
Allez fini cette fiche en vitesse.
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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptyJeu 25 Juil - 14:45
BERNADETTE oh yeah, don't fucking call me bernadette 173440462

Ce choix de vava tellement original, je trouve ça fou oh yeah, don't fucking call me bernadette 3665837191
ça me rend joyeuse de voir des vavas aussi originaux oh yeah, don't fucking call me bernadette 2226560892
puis une magicienne, on se trouvera obligatoirement un lien sûrement négatif avec ruslan oh yeah, don't fucking call me bernadette 937249379
tu sais ce que je pense déjà de ta plume et tout le reste, finis nous ça pour qu'on puisse voir la grande bernie à l'oeuvre oh yeah, don't fucking call me bernadette 3679896999
re-re-bienvenu à la maison bibou oh yeah, don't fucking call me bernadette 1376737002
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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptyJeu 25 Juil - 17:04
Merci les bb oh yeah, don't fucking call me bernadette 520071941

Je prends tous les liens, de toute nature que ce soit, faut surtout pas hésiter à venir voir Tata Bernie. oh yeah, don't fucking call me bernadette 119692517

Et bibou @Anibal Ïoannis, t'en fais pas, Bernie arrive très très vite, et Anibal est la première personne qu'elle ira voir oh yeah, don't fucking call me bernadette 119692517
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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptyJeu 25 Juil - 17:11
Tu vois, rien qu'avec l'amuse-bouche que tu nous proposes, j'ai envie de dire "on est dans la merde" oh yeah, don't fucking call me bernadette 2396628931
Je sens l'ouragan qu'elle va être cette petite Bernadette, le Ainsley en moi aime beaucoup beaucoup ! oh yeah, don't fucking call me bernadette 2396628931
Re-re-bienvenue chez toi oh yeah, don't fucking call me bernadette 3314782227

Tu connais la maison, je t'épargne le blabla oh yeah, don't fucking call me bernadette 3314782227
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Milo Gallagher

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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptyVen 26 Juil - 21:40
wsh, prêtes tes cheveux ils sont archi frais, comme toi tkt. OUF J'EN VEUX PLUS LA oh yeah, don't fucking call me bernadette 2485923792 oh yeah, don't fucking call me bernadette 2485923792 oh yeah, don't fucking call me bernadette 2485923792
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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptySam 27 Juil - 13:35
Tu es un être instinctif, Mil oh yeah, don't fucking call me bernadette 2396628931
Et du coup, le Ainsley en toi pourra avoir un lien avec la Bernie en moi, écoute, quitte à beaucoup aimer l'idée oh yeah, don't fucking call me bernadette 119692517

TOUCHE PAS A MES CHEVEUX LE SAGE oh yeah, don't fucking call me bernadette 2832680856
Le plus arrive dans la journée oh yeah, don't fucking call me bernadette 2485923792


Merci pour les p'tits mots d'amour les deux, là oh yeah, don't fucking call me bernadette 520071941
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Don Ferrino

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GANG : nouveau chef des magiciens, baguette magique enfoncée dans les veines

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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptySam 27 Juil - 14:03
j'ai trouvé un gif genderbend de Bernie oh yeah, don't fucking call me bernadette 119692517

Spoiler:

non mais cette magicienne ? clairement la meilleure ? Best tête, best prénom, best surnom, LE STYLE D'ECRITURE HYPER PERSONNALISE ? Je suis shook. Tant de putain dans cette fiche, je suis ému oh yeah, don't fucking call me bernadette 3782053103

je suis faaaan c'est ouf oh yeah, don't fucking call me bernadette 4131420579

réserve moi un lien de MALADE, on va faire des magiciens les plus puissants et bg de l'île oh yeah, don't fucking call me bernadette 3146177790 oh yeah, don't fucking call me bernadette 2846898971

REBIENVENUE ICI oh yeah, don't fucking call me bernadette 1546288029

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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptySam 27 Juil - 16:04
JPP LE GIF, LE MESSAGE. oh yeah, don't fucking call me bernadette 2396628931 oh yeah, don't fucking call me bernadette 2396628931

Merci chaton, t'inquiète, Dono et Bernie ? Clairement, l'île peut se mettre à trembler. oh yeah, don't fucking call me bernadette 119692517
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Don Ferrino

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GANG : nouveau chef des magiciens, baguette magique enfoncée dans les veines

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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette EmptySam 27 Juil - 16:48

Félicitations !

bernadette  oh yeah, don't fucking call me bernadette 3665837191 , bienvenue sur l'île !

ENCORE UNE FOIS : CE PERSONNAGE oh yeah, don't fucking call me bernadette 1411577228 oh yeah, don't fucking call me bernadette 447754422 oh yeah, don't fucking call me bernadette 3782053103
et cette plume oh yeah, don't fucking call me bernadette 187457680 CETTE HISTOIRE oh yeah, don't fucking call me bernadette 3645913648 oh yeah, don't fucking call me bernadette 2100486779
cette serdaigle de talent je l'aime si fort oh yeah, don't fucking call me bernadette 1803421635
vient emmerder Dono, VIENT oh yeah, don't fucking call me bernadette 1122181634


Bravo pour ta validation petit délinquant. Maintenant que ta fiche est terminée, il est temps de poser définitivement tes valises, de t'installer et de commencer à jouer.
Pour commencer, tu peux vérifier que le staff a bien fait son boulot, et vérifier que ton avatar a été réservé dans le bottin, et que ton personnage a été recensé dans son pays d'origine et sur la date de son arrivée. Si tu ne vois pas ton nom sur un des trois sujets, n'hésite pas à MP un des membres du staff, on t'en voudra pas, loin de là :heart:
Une fois ça fait, tu peux aller poster ta fiche de lien et ta première fiche d'activité RP. Si besoin est, tu peux aussi aller poster un pré-lien si t'as une idée bien précise de ce que tu veux.
Voilà, maintenant t'es paré pour commencer à jouer.
Tu peux désormais aller voir ce qu'il se passe dans ton gang (intrigues ou tea time sur les autres gangs) dans le forum qui lui correspond dans la partie "A la file indienne".
Hésite pas non plus à passer dans le flood et les jeux ainsi qu'a voter sur les top-sites.

Bon jeu parmi nous ! :heart:

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MessageSujet: Re: oh yeah, don't fucking call me bernadette   oh yeah, don't fucking call me bernadette Empty
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